Court métrage expérimental (2024) réalisé dans le cadre du festival "justice et droits humains".

Méditation philosophique et poétique autour de la notion de "liberté" entendue dans son acceptation métaphysique.

"Je suis la liberté.
Je n'existe pas.
Les songes des mortels
me portèrent à la vie."

Ce court métrage explore les différentes modalités qu'emprunte l'entendement humain pour se dissimuler cette tragique et commune vérité: l'humanité ne constitue pas le centre du monde mais uniquement son symbiote. Seul son orgueil lui masque l'absurde miroir.

"Les mortels dévorent les songes.
Et Les songes dévorent les mortels."

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D'un point de vue formel, ce court métrage est construit autour de fragments allégoriques et de poème lu en voix-off. Il adopte volontairement une esthétique expérimentale.

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Scénario, réalisation, montage, design sonore: Eric Anziani

"La sagesse": Chehrazed Ahcine
"La liberté" : Vanessa Garnica
"L'orgueil": Killian Thermidor
"L'auteur": Eric Anziani

Remerciement costume: Coline Dalle.
Régie: Zia.

Eclosion et perspective, 2024