Le suicide est la première cause de mortalité chez les jeunes en Belgique. Chaque jour, cinq personnes mettent fin à leurs jours, et chaque semaine, un adolescent meurt par suicide. Ces chiffres terrifiants rappellent l'urgence d'agir pour prévenir ces drames.

Le CHRSM, en collaboration avec l'association "Un Pass dans l'Impasse", se mobilise à l'occasion de la Journée internationale de prévention du suicide pour sensibiliser le grand public aux signes de détresse. Ensemble, nous pouvons briser le silence et sauver des vies.

Cette vidéo partage l’histoire poignante de Lucie, qui a mis fin à ses jours à l'âge de 12 ans. Aujourd'hui, le 10 septembre, jour où elle aurait fêté ses 15 ans, sa maman, Nadège Bodart, lance un appel à la mobilisation. "Nous n’aurions jamais imaginé que notre fille puisse envisager une telle chose", témoignent Nadège et son mari. Leur histoire, bouleversante, vous invite à ne pas fermer les yeux face aux signes de détresse, même si chaque histoire est différente. Présenter certains des signes d'alerte évoqués ne signifie pas forcément que votre enfant ou proche pense au suicide. En cas de doute, prenez contact avec un professionnel.

ATTENTION : Certains propos de cette vidéo peuvent heurter les âmes sensibles.

Parler du suicide n'est pas facile, mais c'est essentiel. Chaque mot peut avoir un impact. Une écoute, un soutien, une aide professionnelle peuvent faire la différence. Le CHRSM, à travers ses services de psychiatrie, et l’association "Un Pass dans l’Impasse" sont là pour apporter des solutions concrètes aux personnes en détresse.

En cette journée de sensibilisation, rappelons-nous que parler du suicide et des souffrances des personnes concernées est crucial. Il est possible de tendre la main à ceux qui en ont besoin et de prévenir des drames.

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