Cela pourrait être un lever du jour sur les rives du Bosphore. Un coucher de soleil assis dans les Calanques à la pointe de Marseille. Une balade un peu plus intense dans le port du Pirée. Ou tout simplement les états d’âme, de coeur, de vie et de fête, d’un jeune homme autodidacte peignant dans son atelier de Saint-Ouen. À vrai dire c’est un peu de tout ça que l’on vit, que l’on ressent, quand on entend la nouvelle jeune brillante sexy musique de Johan Papaconstantino.

Une musique « kaléidoscopique » (mais si vous savez, cet instrument, ce jouet qui reflète à l’infini et en couleur la lumière de la réalité extérieur), un terme qui, d’ailleurs, vient du grecque (les origines de notre invité du jour) : « Kalos » pour « beau », « eidos » pour « image » et « skopein » pour « regarder ». Belle - Image - à - regarder -. Johan Papaconstantino peint comme il chante et chante, compose, produit comme il manie son pinceau. Sans hasard mais avec une determination certaine, une question d’équilibre mais surtout de choix, le choix justement de ne pas choisir entre ses deux arts, la peinture et la musique, les mêmes que Gainsbourg aimait à opposer d’art mineur à majeur.

Contre-Jour est son premier EP, un ovni qui donne un souffle moderne au « Rebetiko » cette musique populaire des bas fonds d’Athènes.  Nous sommes extrêmement fiers de le recevoir ce matin pour l’une de ses toutes premières radio en live.

En concert le 7 juin au Hasard Ludique.

*****

Abonnez-vous à notre chaîne : http://j.mp/1cT7DvA

Radio Nova : http://www.nova.fr
Rejoignez-nous sur Facebook : http://j.mp/1c79krz
Twittez-nous : http://j.mp/1fJ7u14